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Accueillir le virus... de la peur : 4 solutions pour vivre mieux en cette période difficile

Dernière mise à jour : 25 févr. 2021


En ce moment, les médias ne parlent que de ce coronavirus venu de Chine et qui porte désormais un autre nom que j’ai déjà oublié. Petit à petit, des bouts de peur commençaient néanmoins à s’immiscer en moi… avec des questions : et si le coronavirus s’installait ?

Et si une épidémie géante se faisait jour sur la planète ? 

Faut-il faire des provisions et rester cloitrée dans un village à la campagne ou à la montagne ? 

Faut-il vraiment refuser de parler, d’embrasser nos amis, nos enfants, nos parents ou grands-parents ? 

A l'annonce de cette "pandémie", j'étais en Inde et je profitais des rires des enfants du bidonville à Jaïpur dans lequel j'étais pour mettre en place une aide humanitaire avec mon ami Prakash.

Et puis, j'ai perçu dans cet "engouement médiatique" un adage, une expression qui est très vite devenue réelle "Diviser pour mieux régner".

Depuis le début de cette histoire, les gouvernements baladent la population. Un coup, alors que le virus fait tomber les têtes plus rapidement des plus vulnérables, le masque n'est pas obligatoire (puisqu'il ne protège pas des virus) puis ils nous imposent de rester chez nous avec une autorisation de sortie (comme au collège) signée par nous-mêmes. Tout est fermé, même les écoles parce que les enfants transmettent le virus (bizarre, non ?) sauf les grandes surfaces et les bureaux de tabac...

Tout le monde a peur et se rue faire le plein de papier toilette et de savon liquide pour les mains et de gel hydroalcoolique, puis c'est au tour du sucre, des pâtes, du riz et de la farine... "Nous sommes en guerre", nous a annoncé Mr Le Président de la République... Humm... Mais où est l"ennemi ? Depuis quand l'ennemi est un virus ? Il y a quelque chose qui cloche, mais quoi ? Sommes-nous devenus fous ?


Pendant qu'en Inde, la propagande de l'alcool pour tuer le virus fait rage et que la police confine tout le monde à coup de matraque, fermant tous les commerces et les administrations jusqu'en décembre, en France, le gouvernement change son fusil d'épaule en imposant le masque dans les grandes surfaces et les marchés ouverts en continuant à parler de guerre...

Ca y est ! Le virus de la peur s'installe, mettant bien dans la tête du peuple qu'il faut se protèger et protèger les autres même si pour ça les grands-parents ne doivent plus voir leur famille, même si les gens ne peuvent plus s'embrasser libremment (j'ai vu des soignants et laborantins s'interdire tout contact avec leurs propres enfants par peur d'une contamination éventuelle). Les gens commencent à avoir peur les uns des autres. Il suffit qu'une personne tousse ou s'enrhume pour qu'on s'écarte d'elle et la fustige de criminelle...

Puis, à l'arrivée des beaux jours, le gouvernement décide de déconfiner tout le monde et de rouvrir les écoles, imposant le masque à tout le monde, un circuit pour éviter tout croisement d'élèves, l'utilisation du gel toutes les heures... Bref, alors que le virus perd de sa virulence, il continue à nous balader...


Cet été, c'était relâche. Il nous a laissé souffler (et pour qu'il puisse partir en vacances), tout en nous mettant en tête que ce sera surement partie remise à la rentrée (parce que bon, 'faut pas déconner, il rigole bien de nous voir aussi crédules). Enfin, c'est la rentrée scolaire, le gouvernement remet ça, relayé activement par les médias (financé par les lobbies et le gouvernement). Sous prétexte de cas positifs au virus qui se multiplient, il nous sort des mesures toutes les plus restrictives les unes que les autres. Les tests PCR, dont la fiabilité est plus que douteuse (Le président de Tanzanie fait tester le kit PCR sur des échantillons non-humains), celui du masque prouvant plus qu'il nous prive d'oxygène que nous protèger (Mesures du taux d'oxygène avec ou sans masque) et de la fameuse deuxième vague d'un virus saisonnier mutant (Un masque ne sert à rien contre le virus - Ce microbiologiste explique ) afin de pouvoir mettre en place une campagne vaccinale qui ne servira à rien à commencer par celle de la grippe...

Et j'ai toujours cette expression qui crie de plus en plus fort dans ma tête "diviser pour mieux régner".

Alors qu'à l'hôpital, même si des gens ne sont pas tous positifs au COVID décèdent, le personnel soignant est obligé de les déclarer "décédés à cause du COVID" pour avoir des subventions et la course au plus grand taux de cas positifs et de morts est lancée !

Il leur faut des "preuves" par les chiffres pour que leurs mesures sont sanitairement correctes et pour cela le matraquage médiatique est de mise !

Que se soit par les publicités, les informations, les associations humanitaires ou caritatives à La TV, les journaux et les réseaux sociaux, nous y avons droit ! Et si nous ne suivons pas leurs mesures, alors le gouvernement utilise la menace et la sanction, voire la punition... en attendant le "miraculeux" vaccin d'ici le printemps prochain...

Quand je prends de la hauteur et que j'observe tout ça, je me dis que ce monde est devenu fou... Et je me pose la question : Quels sont leurs intérêts de restreindre la population de cette manière ? Est-ce financier ? Est-ce pour mieux asservir les gens ?

Quels sont leurs buts ?


En moi, toujours cette voix : "Respire profondément et souris"...


Mais je ne peux nier les signes de peur qui se multiplient aussi autour de moi. Le sujet se glisse dans toutes les conversations… Hier soir un texto d’amis pour annuler un repas au restaurant because coronavirus contact ou suspecté … Zut ! Dommage de ne pas se voir ! Ma fille a peur de me voir pour éviter tout risque d'infection (alors qu'elle n'a pas le corona). Un copain refuse de monter dans un bus car les autres passagers « ont des têtes de chinois, ils vont nous refiler le virus » , en fait ce sont de charmants philippins, d’autres amis décident de rentrer chez eux en Ecosse pour se mettre à l’abri. Mais à l'abri de quoi ? En faisions-nous de même lors des épidémies de grippes ou de gastro les années précédentes alors qu'elles faisaient autant de morts ? Le virus de la peur serait-il tout aussi virulent que le coronavirus…

J’essayais d’écouter ce qui pouvait être juste et approprié dans la situation.

Comment ne pas se laisser saisir par la panique mais rester dans une prévention juste ? Comment ne pas ignorer la chose mais rester dans la réponse adéquate ?

Que faire pour prévenir au mieux le risque ?

Comment se comporter en évitant la panique mais aussi l’inconscience ?  Finalement ce sont des questions communes, voire quotidiennes de la vie. Elles sont juste amplifiées par le coté dramatique qui se joue, notamment dans les médias, mais ce sont des questions qui se posent à tout instant pour tout un chacun. Où trouver l’équilibre juste entre l’ultra-protection et la négligence, en matière d’alimentation, de soin, d’activités, de travail. 

Voici mes propres conclusions / essais, intuitions à ce jour :

1) Savoir gérer et écouter ses peurs (de manquer ? de mourir ? d'être abandonner ou rejeter ?) • Prendre conscience de mes peurs et les accueillir : après tout c’est normal de flipper un peu , nous sommes aussi les héritiers des grandes épidémies du moyen âge (pestes, choléras, .. ) ou du début du siècle dernier (grippe espagnole) et elles ont sans doute laissé des traces dans l’inconscient collectif, et ces traces se ré-activent lors des épisodes récents.  • Choisir de ne pas nourrir ces peurs : ne pas aller sur internet ou la TV plusieurs fois par jour pour voir les chiffres et données, ne pas parler de cela, ne pas écouter les amis pris dans leurs paniques diverses. • Choisir, quand c’est possible, de ne pas agir à partir de ces peurs. La peur, comme la colère est mauvaise conseillère .. et la peur n’évite pas le danger. Notamment pour ne pas en rajouter, je me suis fixée une ligne de conduite : ne pas fonder mes décisions et actions sur la peur, donc écouter intérieurement et donc par exemple je n’irai pas faire des stock de nourriture, même si une petite voix intérieure apeurée me susurre que c’est vraiment urgent. • Prendre soin de ces peurs .. OK je n’irai pas faire de stock mais je peux rassurer la petite fille en moi qui a peur de mourir de faim. Non je ne la laisserai pas tomber. Je regarderai tranquillement les conseils proposés par les professeurs de médecine mais pas les émissions sensationnelles des chaines d’infos 24/24.

Et enfin, respirer librement en souriant. Voici 3 techniques pour bien respirer, améliorer son sommeil, sa digestion, son stress et ses relations avec soi-même et les autres.

2) Me rappeler que la prévention est le plus important.

Un bon feu digestif permet de se mettre à l’abri de beaucoup d‘agents pathogènes ! Me rappeler notamment la phrase de Claude Bernard (souvent attribuée à Pasteur, l'imposteur ) : "le virus n’est rien, le terrain est tout" et faire ce qui est en mon pouvoir pour garder une bonne immunité. Par exemple, lever le pied en matière d’alimentation - finalement c’est peut être une bonne idée de ne pas aller diner au restaurant - , manger léger le soir, voire faire une diète, s’activer physiquement, prendre des épices digestives. Déjà ça peut pas faire de mal et de plus, faire quelque chose de positif et d’utile pour mon système apaise le mental.  Selon l’Ayurveda, le feu digestif ou AGNI, est responsable de notre digestion mais aussi de notre « immunité » en cela qu’il permet de détruire les virus, bactéries ou microbes toxiques pour notre santé. Une bonne digestion est non seulement agréable mais source de santé. Il combat les agents pathogènes et empêche la formation d’AMA, les toxines, qui font le lit des infections diverses et variées. 

3) Observer mon fonctionnement

Que ce soit mes pensées - comment je me laisse embarquer dans un scénario, comment je projette des hypothèses fatales, comment je nourris mes pensées de calculs - ou mes actes - comment je peux nourrir ma peur et celle des autres dans mes paroles, comment j’alimente les fantasmes moi même, comment je me distrais en faisant des blagues, comprendre quand une peur déclenche une réaction - ou mes émotions : comment je ressens la peur .. 

4) Prendre de la hauteur en méditant.

Essayer de voir, au-delà, ce qui se joue pour moi et pour tous dans cette période, dans cette crise, mondiale. 

Voila ou j’en suis au moment d’écrire ces lignes, je serai curieuse d’échanger avec chacun sur les résonances singulières pour vous de cet épisode …  Prenez soin de vous et de votre feu digestif ! Et si vous voulez en savoir plus sur les actions à poser pour avoir un bon feu digestif, c'est par là !

Si vous souhaitez aller plus loin dans l'apprentissage de l'Ayurveda, rejoignez la team de My Ayurveda pour mieux vous connaître et mettre en place les routines santé qui vous conviennent.


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